« Nous n’avons pas pu ignorer que Ravel se vit dépouiller du don de mémoire, perdit la parole, le geste d’écrire, mourut jugulé et conscient alors qu’en lui se débattaient encore tant d’harmonies, tant d’oiseaux, de guitares, de danses et de nuits mélodieuses. » – Colette, citée dans H. Jourdan-Morhange, Ravel et nous, éditions du milieu du monde, 1945, p. 11